Le retour de la licence iconique d’Ubisoft se concrétise avec un film onirique.

Après plusieurs années de développement, Assassin’s Creed Origins sort le 27 octobre et s’annonce comme un véritable renouveau avec un système de jeu repensé et un univers plus riche, ouvert et imprévisible que jamais.

Ce nouvel opus remonte pour la première fois aux origines de la confrérie et nous plonge au 1^er siècle av. J.-C, dans une période troublée de l’Egypte. La région est en proie à des forces antagonistes, entre la menace intérieure de la guerre civile et celle de l’Empire Romain déjà aux portes du pays. C’est la fin d’une civilisation millénaire qui s’esquisse. De ce contexte naîtra la vocation du héros, Bayek, dont le destin sera intimement lié à celui de son pays.

Le terrain avait été préparé avec une inquiétante série de teasers, Mystery enemies. Ce premier film de lancement reste en amont de l’action foisonnante du jeu, de ses combats, de ses guerres et de ses complots. Baigné d’une lumière crépusculaire, c’est une immersion contemplative dans l’univers d’Assassin’s Creed Origins. Mais si le film rend hommage à la beauté mystérieuse de l’Egypte antique, c’est en soulignant sa fragilité. Car c’est une civilisation en dissolution qu’il représente, ses symboles et ses accomplissements balayés par le vent. De la fin de cette ère naîtra une lignée : celle des Assassins. C’est leur philosophie qui sera exploré dans un second film, annoncé courant octobre.