L’inRead Social fait son entrée dans la cour des plus grands médias.
En 2012, lorsque Teads propulse son format inRead, la plateforme publicitaire vidéo frappe un grand coup en ouvrant un inventaire vidéo jusqu’ici restreint à YouTube et aux plateformes de replay. Succès garanti !
8 ans plus tard, Teads présente l’inRead Social qui, comme son nom l’indique, permet aux annonceurs de maximiser la visibilité de leurs campagnes sociales en les insérant au sein d’environnements « plus qualitatifs et plus efficaces ». En l’occurrence, « les plus grands médias ».
La promesse ? « Des garanties de brand safety, de reach incrémental, premium et d’engagement à travers les contenus éditoriaux professionnels. »
En France, Teads touche 48 millions de visiteurs uniques par mois selon Médiamétrie, « dont 2,9 millions d’utilisateurs exclusifs par rapport à Facebook, et 20,4 millions par rapport à Instagram. » Autrement dit, Teads revendique 91% de reach sur la population française connectée, contre 87% pour YouTube et Facebook, nous expliquait Geoffrey La Rocca, le directeur général de Teads dans un précédent dossier consacré à la contre-attaque des médias face aux GAFA.
La version beta de l’inRead Social de Teads a d’ailleurs été testée « en collaboration avec plus de 125 marques leaders à travers le monde et sur des centaines de millions de vues, annonce la plateforme dans un communiqué. Le tiers vérificateur MOAT a mesuré un in-view time moyen de près de 8 secondes sur ces campagnes, dépassant largement les benchmarks de l’industrie pour la vidéo sur les réseaux sociaux. » Teads pointe également « les économies significatives » réalisées par les annonceurs « sur des critères de Coût Par Vue Complète — jusqu’à 70 % dans certains cas — par rapport à leurs investissements sur les réseaux sociaux. »
L’avenir nous dira si l’inreal Social est promis à la même destinée que son aîné.