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À l’ère du responsable, de l’engagement, de l’écologie, la nature est devenue un sujet sérieux, engagé, politique. À l’heure où la RSE d’une entreprise est en passe de devenir son premier avantage concurrentiel, la planète n’est plus prise à la légère. Et il était temps.

Mais si tous ces enjeux sont bien réels et de la plus haute importance, oublions l’espace d’un instant le rapport anxiogène à notre matrice nourricière que nous sommes lentement mais surement en train de créer, et revenons au rapport initial qu’ont – depuis tout temps – entretenu les marques avec l’organique, le végétal, le brut. Ces gestes créatifs inspirés des éléments naturels, et réalisés sans pour autant les dénaturer.

Imagination thématique. Innovation biomimétique. Naturelle démesure. Détournement taquin. Magnification des origines. Autant d’idées que les marques empruntent à la Nature, qu’elles soient simples prétextes à la création ou véritables fils conducteur de leur réflexion.

Mais d’ailleurs, que lui rendent elles en retour ?

Une étude dirigée par Camille Yvinec, Executive Strategy Director et Nicolas Minisini, Strategist, à lire dans le n°1945 100% Design de Stratégies -> https://bit.ly/2GAFuV3