On a résolu le mystère de la chouette.
Voici une campagne qui s’apprécie de loin, de très loin, ou en très petit. À l’inverse de sa dernière campagne audacieuse qui s’affichait à l’arrière des camions et en 4×3 pour promouvoir la ligne Paris-Lyon, OUIGO et son agence Rosapark récidivent dans une campagne d’affichage qui joue à cache-cache.
Il faut en effet un minimum de recul pour apprécier toute l’ingéniosité de cette campagne digitale. Pour promouvoir ses nouvelles destinations montagne et ski, propices en cette période où les professionnels du tourisme sont aussi touchés par la crise que désireux d’accueillir des touristes, le TGV low cost de la SNCF mise évidemment sur le prix. Un prix d’appel si bas que les sapins pourraient être remplacés par des chouettes, les plus impatients n’y verraient que du feu. C’est l’un des messages apposés sur les 3 visuels en trompe-l’œil de cette campagne déployée du 4 au 11 janvier prochain sur les réseaux sociaux de la marque (Facebook, Instagram & Twitter en version fixe et en version animée).
L’idée créative fonctionne à merveille, d’abord attiré par le prix, le chaland en oublie le décor, qu’il s’agisse de chouette, de baguette ou de tapette à souris, l’envie de partir, qui plus est à petits prix, emporte tout.
« La campagne sera complétée par une activation sur Facebook et Twitter, ainsi qu’un filtre Instagram [production Swipe Back] offrant la possibilité aux instagrammeurs de se placer eux-mêmes dans la publicité OUIGO à la place des chouettes et de le partager à leur communauté », précise le communiqué.
Un tel prix ça doit cacher quelque chose https://t.co/2923q2l9t9
— JP Chiquiar (@JP_Chiquiar) January 4, 2021