Ou quand le sport crée une onde d’émotion.

73^ème minute. L’attaquant rentre dans la surface adverse, élimine un défenseur, et décroche une lourde frappe. Le gardien se détend mais en vain. Le ballon vient heurter la barre transversale et retombe lourdement derrière la ligne de but.

Et là, instantanément, une émotion part du stade et irradie à des milliers de kilomètres à la ronde. Dans une fraction de seconde, fans comme spectateurs sont touchés d’une manière que seul le sport peut offrir. Et pour les parieurs, cet instant est encore plus fort.

C’est cette vision émotionnelle du pari sportif que Betclic a voulu exprimer dans son tour dernier film L’Onde, avec l’aide de l’agence Marcel. L’histoire d’une onde, semblable à la houle sur la mer, qui traverse campagnes et villes jusqu’à revenir à son point de départ : l’impact d’un ballon sur le sol lors d’un match de football. Sur son passage, l’onde soulève des parieuses et des parieurs, symbolisant ainsi l’émotion engendrée par

« En tant qu’amoureux et partenaire majeur du sport Français, la mission de notre marque est de magnifier chaque instant de sport en offrant du divertissement à nos joueurs. Cette campagne fait parfaitement écho à cette ambition, ainsi qu’à notre promesse de faire vivre le sport plus fort. » souligne Laurent Burel, Directeur Marketing de Betclic

« On voulait exprimer l’effet papillon du sport. Le fait qu’un stade est l’épicentre d’une émotion pouvant atteindre n’importe qui, instantanément, à des milliers kilomètres. Et pour exprimer cette idée, on est partis de l’image de la goutte tombant dans l’eau. Mais pour que créer une tension narrative, il était indispensable que cette idée soit jouée à l’envers. » expliquent Alexandre Girod et Julien Vergne, créatifs de Marcel.

Pour réaliser ce film qui présentait de nombreux défis en termes de narration et de production, l’agence Marcel a collaboré avec le réalisateur Bruno Aveillan et Quad Productions. Même si une grande partie des effets spéciaux ont été fait en post-production, le réalisateur tenait à réaliser des parties de l’onde lors du tournage.

« J’ai immédiatement adoré le concept imaginé par les créatifs de Marcel. Sous ses fausses allures de blockbuster, « L’Onde » révèle une tout autre réalité. Si le film se devait d’être particulièrement spectaculaire sur le plan visuel, ce qu’il devait montrer et traduire était à l’opposé d’un film « catastrophe. » Ici, l’effet surréaliste généré par cette « onde » représente avant tout une vague d’énergie et de bonheur irrépressible. De celles que l’on peut ressentir lors des grands évènements sportifs en direct.

Malgré l’importance fondamentale des VFX dans ce film, je souhaitais privilégier une certaine proximité avec le spectateur en évitant de m’en remettre à 100 % à la 3D. J’ai donc réalisé le plus de trucages possibles « en direct ». Ces effets ont ensuite été relayés par un gros travail de post production réalisé par les équipes de Fix Studio et Reepost. Cette approche dote le film d’une signature plus organique, réaliste et humaine, teintée d’humour, en phase avec le caractère généreux et émotionnel du script. »Bruno Aveillan

L’Onde progresse sur une réorchestration originale du morceau classique Peer Gynt d’Edvard Grieg, réalisée par le studio The Dog. À l’image comme au son, ce film a pour objectif de trancher avec les codes du pari sportif.

Le film de marque lancé en télévision le jeudi 7 septembre lors de France / Irlande sera accompagné dans un second temps par un fim produit axé sur la variété des jeux disponibles dans l’application, de billboards TV, et d’une campagne print.