BACK MARKET ET MARCEL DÉTOURNENT LA CAMPAGNE LA PLUS

EMBLÉMATIQUE DE LA TECH POUR DÉNONCER L’IMPACT GRANDISSANT

DE LA FAST TECH

METTONS FIN À LA FAST TECH

Back Market, la première marketplace dédiée à la technologie reconditionnée vérifiée, et l’Agence Marcel lancent ce 16 avril (à l’occasion de la journée de la Terre le 22 avril) une campagne mondiale incitant les consommateurs à s’opposer à la culture du jetable, de la surconsommation et de la surproduction. Cette culture du jetable, c’est ce que Back Market a défini comme la “fast tech”

« Depuis dix ans, Back Market agit pour faire du reconditionné une évidence face aux dérives de la surconsommation et de la surproduction. Aujourd’hui, ce combat prend un nouveau tournant : on met enfin un nom sur le problème : la fast tech, cette culture du toujours-neuf qui pousse à produire et jeter toujours plus. Pour nous, il ne s’agit plus seulement d’alerter, mais de faire bouger les lignes et de provoquer un vrai changement de paradigme » explique Nina Quellier, Head of Brand Activism de Back Market.

« Les déchets électroniques et la fast tech sont des problèmes systémiques qui appellent une prise de conscience globale. Il est essentiel de sensibiliser le public à l’impact de notre dépendance à la technologie, en montrant à quel point notre environnement a changé entre la sortie de différents modèles de smartphones », a déclaré Joy Howard, CMO de Back Market.

“Aujourd’hui, les publicités ne sont pas suffisamment axées sur une consommation durable. Pourtant, elles jouent un rôle crucial pour sensibiliser le public face aux injonctions contradictoires que nous rencontrons chaque jour, où l’on nous pousse à consommer davantage tout en étant responsables. C’est dans cet esprit que nous appelons à mettre fin à la fast tech à travers un détournement symbolique, car les symboles ont un pouvoir significatif dans notre société.” a déclaré Quentin Vandegucht, Directeur Marketing France de Back Market.

L’industrie numérique dans son ensemble représente 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (source) et pourrait représenter 14 % des émissions mondiales totales d’ici 2040 (source), toutes choses étant égales par ailleurs (projection pour 2040 réalisée en considérant le niveau des émissions mondiales de gaz à effet de serre de 2016). À l’échelle d’un pays comme la France, qui bénéficie principalement d’une électricité bas carbone, les émissions liées à la fabrication sont largement supérieures. Jusqu’à 78 % del’impact environnemental du numérique sur les émissions de gaz à effet de serre en France est lié à l’étape de fabrication.

La campagne vise à démontrer les impacts environnementaux de la crise climatique tout en soulignant la responsabilité croissante de la surconsommation et de la surproduction d’appareils électroniques. C’est d’autant plus important car aujourd’hui l’impact grandissant de la fast tech et son système est méconnu du grand public.

En parallèle, elle donne aux consommateurs les moyens d’agir : réutiliser, réparer, revendre, et acheter des appareils électroniques reconditionnés aussi souvent que possible afin de prolonger leur durée de vie et éviter qu’ils ne finissent en décharge. Les visuels publicitaires détournent la célèbre campagne d’Apple “Shot on iPhone” et montrent, à travers des visuels “avant/après”, à quel point l’environnement évolue entre deux générations de smartphones.

En quelques années seulement, des glaciers ont disparu, des sécheresses ont transformé les paysages, et des inondations ont englouti des villes entières. Ces images marquantes rappellent le coût de cette culture du jetable, qui contribue à la crise climatique même si elle n’est pas seule responsable.

La campagne print et affichage sera accompagnée d’un film manifesto de marque, ainsi qu’un dispositif social media et influence conçu pour sensibiliser aux dérives de la fast tech, à l’impact des déchets électroniques et aux alternatives déjà accessibles pour consommer la tech autrement.

La campagne « Mettons fin à la fast tech” sera visible dans des lieux emblématiques à New York, Londres, Paris (Place des Vosges), Madrid et Hambourg. Elle comprendra également une plateforme de contenu en ligne dédiée ainsi qu’un volet social media / influence pour sensibiliser le public à l’impact des déchets électroniques et aux moyens concrets de réduire sa dépendance à la culture de la fast tech.