Guerre des talents : comment la publicité compte-t-elle à nouveau séduire ?

Par Xuoan D. le 27/01/2020

Temps de lecture : 1 min

L'interview minute de Gilles Fichteberg, co-fondateur de Rosapark.

Si les jeunes talents n’ont plus le désir de travailler dans la publicité, le métier est voué à s’appauvrir lentement. Le secteur en est conscient, comme nous l’expliquions dans notre émission Les enjeux – la Réclame dédiée à l’attractivité des agences, et ne manque pas de réagir.

« Redonner envie aux gens d’aimer la publicité » est justement l’objectif de Gilles Fichteberg, co-fondateur de l’agence Rosapark, et nouveau président de la délégation Publicité de l’AACC, succédant à Olivier Altmann.

Gilles Fichteberg est convaincu que le métier de publicitaire est « formidable ». Lorsqu’il est bien fait, c’est même « un acteur central dans la transformation du monde. » Il subit néanmoins « depuis de nombreuses années une défiance d’un large public, un désamour des jeunes. Mais aussi une dégradation de sa valeur auprès des annonceurs avec pour conséquence la perte de la mesure » de l’expertise des agences et de la nécessité des idées pour les marques.

Pour l’un des trois co-fondateurs de Rosapark, il n’y a qu’une solution contre ce double péril, à la fois RH et économique : expliquer encore et encore le rôle de la publicité, sur le terrain, dans les écoles ou chez les annonceurs. Tel est le programme qu’il nous dévoile dans cette nouvelle interview minute.

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