Monoprix, Intermarché ou encore John Lewis marquent le retour des super productions.
Cette tendance aux films publicitaires “hors format” est particulièrement marquée en France depuis le début de l’année. Comme si dans un monde où chaque marque produit désormais du contenu à foison, une production et un storytelling ambitieux redevenaient les meilleurs moyens pour émerger.
Pour décrypter cette tendance, nous avions rendez-vous avec Gilles Fichteberg, sur le French Camp de l’AACC. Tout fraîchement auréolé d’un Gold en Entertainment à Cannes avec [tag]Monoprix[/tag], le co-fondateur de [tag]Rosapark[/tag] nous dévoile sa vision de la complémentarité entre film et digital. Celle-ci s’avère particulièrement stimulante pour son agence, donnant lieu à de nouvelles formes de storytelling. Quant à l’avenir, celui-ci est au beau fixe pour Gilles Fichteberg, impatient de proposer de l’immersion et de l’interactivité physique grâce à la VR. “L’industrie n’a jamais été aussi intéressante, nous n’en sommes qu’au début de plein de choses”.