Les aventures de Thomas continuent avec Ogilvy Paris pour Interbev

Le mieux manger est une préoccupation majeure, partagée par de nombreux Français, qui
a naturellement fait évoluer la façon de consommer et donné naissance à un véritable mode de vie : le flexitarisme.

Plus qu’un simple régime alimentaire, le flexitarisme est avant tout un mode de consommation. C’est manger varié et équilibré certes, mais c’est aussi prendre conscience que notre alimentation a un impact sur l’environnement et le monde qui nous entoure. C’est privilégier des produits durables, c’est se renseigner sur la provenance de ce que l’on mange, c’est ne pas gaspiller… Bref, être flexitarien c’est aussi s’engager.

Et c’est conscient de ces évolutions profondes de la société que les professionnels de la filière Élevage et Viande, réunis au sein d’INTERBEV, poursuivent la campagne “Naturellement Flexitariens” et son mot d’ordre “AIMEZ LA VIANDE, MANGEZ-EN MIEUX.”

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Parce que chacun s’engage à sa façon.
En 2019, débute le premier chapitre de la saga « Thomas ». Aujourd’hui Ogilvy et Interbev ouvrent le 3ème mais avec quelque chose de différent. En effet, après avoir défini le flexitarisme dans les deux saisons précédentes il est temps de le présenter tel qu’il est, comme un engagement. Car nous le savons bien, il n’est pas toujours facile de s’engager. Tout le monde essaie, y met du sien, se confronte à de nombreux paradoxes et dilemmes. Chacun s’engage mais à sa façon. Et c’est de tout cela que se nourrit la campagne. D’abord en film, où l’on présente la famille de Thomas. Une famille représentative d’une France qui s’engage comme elle peut. Oui, Marie ne consomme plus que local mais ça n’empêche pas Philippe d’acheter un drone en plastique qui vient de l’autre bout du monde. Oui Judith est «relou», mais elle, au moins, elle s’engage. Pas comme Léna. Un portrait qui se veut complice et reflet des consommateurs.

Dans la campagne d’affichage lancée à l’occasion du Salon International de l’Agriculture à Paris, Ogilvy et Interbev interpellent les consommateurs sur leur définition même de l’engagement. Car s’engager ce n’est pas forcément le poing levé, c’est parfois juste à point. Ce n’est pas forcément militer dans la rue, on peut aussi militer dans l’assiette. En fait, l’engagement c’est chacun à sa façon et le flexitarisme se présente ainsi comme une réponse à tous ceux qui souhaitent continuer de varier leur alimentation mais dans un but commun : préserver l’environnement et les territoires qui nous entourent.