Donner à voir toutes les masculinités.
Depuis deux ans maintenant, Gillette, dont l’un des anciens slogans était, « La perfection au masculin », porte un nouveau message, loin de la masculinité toxique dénoncée un an auparavant par le mouvement #metoo : une vision plus complexe et nuancée de la masculinité.
En mai 2019, la marque apportait ainsi son soutien aux personnes transgenres avec le film « Premier rasage, l’histoire de Samson ».
Accompagnée par sa nouvelle agence Marcel, Gillette franchit une nouvelle étape avec la campagne « L’homme que vous êtes » réalisée en collaboration avec l’école Kourtrajmé. Les trois films issus de cette campagne donnent à voir trois instants dans la vie de jeunes garçons lorsqu’ils se retrouvent seuls face au miroir au moment de se raser : « c’est un moment de cheminement personnel qui donne la force nécessaire pour se projeter dans la vie. Avec conviction », souligne le communiqué (dans l’oreillette, l’agence Marcel nous précise qu’au moment de concevoir cette campagne les équipes pensaient moins à « l’homme qui y pensait pas seulement en se rasant » qu’au Man in the Mirror de Michael Jackson. La référence est donnée).
À la mi temps du match #FRAPOR …le premier film de notre nouvelle campagne pour @GilletteFrance! Énorme fierté d’avoir remporté ce pitch en 100% télétravail et d’avoir le privilège de donner à voir une nouvelle vision de la masculinité pour Gillette ? bravo @MarcelAgency
— Nico Lévy (@nico_atd) October 11, 2020
Pour lancer la campagne, et célébrer une nouvelle vision de la masculinité, Gillette s’est offert un écrin de choix : la mi-temps du match France-Portugal diffusé dimanche soir dernier. Une prise de parole rafraîchissante et non dénuée d’engagement face une telle audience puisque ce sont les clips « L’amoureux de Camille » et « Le grand jeté » (réalisés par les élèves Bastienne Rondot et BA Mounib, qui ont été privilégiés. D’autres projets avec l’école Kourtrajmé sont d’ores et déjà annoncés.
Les 3 réalisations
« L’amoureux de Camille »
« Le Grand Jeté »
« Lucas contre Goliath »