Les thèmes retenus dans la campagne apportent des éclairages précis sur les différentes innovations
proposées par l’entreprise publique. Après une première vague ayant valorisé les efforts de
modernisation entrepris en termes d’accueil et d’écoute (service consommateur via le triple canal,
réduction du temps d’attente en bureau de poste, etc.), cette deuxième vague valorise les innovations
postales sur le terrain du numérique (lettre recommandée électronique, application mobile de La Poste
et La Poste partenaire n°1 du e-commerce).
Le ton de la campagne est servi par une exécution originale et moderne puisque c’est à travers le format
de la BD qu’a choisi de s’exprimer la marque. Et pas avec n’importe quel trait puisque c’est Lewis
Trondheim, talentueux dessinateur de BD français, de nombreuses fois récompensé au festival
d’Angoulême, qui donne vie à cette saga. La marque adopte ainsi une tonalité humoristique et proche
de chacun qui perpétue ses grandes campagnes précédentes qui ont marqué les Français.

« Qu’est ce qu’ils ont encore inventé à la Poste ? » : tout commence par cette interpellation qui pose les
bases d’une saga publicitaire et permet de révéler, au fil du temps, une multitude d’innovations
concrètes, venant prouver la volonté de La Poste de toujours mieux servir ses clients, dans le respect de
ses valeurs. Pour La Poste, il s’agit d’innover sans se renier.

La Poste et son agence BETC Euro RSCG ont ainsi fait le pari audacieux d’une campagne associant la
bande-dessinée à une tonalité résolument moderne et décalée. Une stratégie créative qui se révèle
payante. Ainsi, selon les résultats du test mené par Ipsos en décembre dernier, la campagne dans sa
première vague a séduit 85% du grand public. Un public qui a perçu un message d’évolution de
l’entreprise publique qui tend vers plus de modernité, d’innovation, de proximité et d’écoute de ses
clients.