Google et Criteo au coude-à-coude, Publicis en tête des agences.
Pour la 6ème année consécutive, le Syndicat des régies Internet (SRI) publie le Top 30 des revenus programmatiques annuels. Il est constitué de 2 classements, un en « display hors instream » et un en « vidéo instream » et ne concerne que les régies membres du syndicat.
Ces classements, réalisés à partir des chiffres d’affaires nets des régies membres du SRI sur l’année 2019, ont pour principal objectif de montrer “la variété, la complexité et la difficulté d’identification des flux de revenus programmatiques côté régie”, précise le SRI. Ils prennent en compte toutes les formes de programmatique possibles : Open RTB, deals et garanti.
D’après le communiqué du SRI, les chiffres publiés ne “peuvent pas être considérés comme le reflet du poids global de ces différents acteurs”. Cela pour deux raisons. Premièrement, la limitation du périmètre d’achat à l’univers SRI. Deuxièmement, le regroupement sous la catégorie « Unknown », qui concerne les sources de demandes identifiées seulement par le nom du DSP et non par les acheteurs eux-mêmes, fait qu’une part de ces revenus pourrait donc être attribuée aux acteurs présents dans ces Tops et ainsi en modifier le classement.