Les marques auraient-elles intérêt à moins souvent changer d’agence ?

Par Xuoan D. le 23/04/2018

Temps de lecture : 1 min

Éloge de la fidélité.

Pour Christophe Lichtenstein, le plus grand enjeu actuel des marques est la pérennité. Un duo agence-annonceur durait auparavant « 10 ans, puis 5 ans, et aujourd’hui rarement plus de 3 ans ». Un effet de bord de ce renouvellement accéléré est, selon le CEO de Romance (Intermarché, Audi, PokerStars, Mondelēz…), la difficulté pour les marques à « construire des territoires efficaces et pérennes dans le temps ».

Les compétitions seraient-elles en cause ? Christophe Lichtenstein est en plein « love & hate » avec celles-ci. D’abord car elles mobilisent une énergie considérable au sein d’une agence, potentiellement au détriment de ses propres clients, alors que Romance s’est organisée autour d’équipes par annonceur, afin de les satisfaire au mieux. Mais Christophe Lichtenstein voit aussi les sélections et appels d’offres comme « des accélérateurs d’expérience extraordinaires pour les équipes », permettant à toute l’agence de n’avoir qu’un seul objectif : « gagner ».

Enfin, il nous dévoile dans une vidéo bonus comment Romance a convaincu – ou plutôt, n’a pas convaincu ! – [tag]Intermarché[/tag] d’opérer un grand virage dans sa communication.

Bonus : comment Romance a convaincu Intermarché

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