LA LIBRAIRIE DE PARIS (GROUPE MADRIGALL) FAIT SA RENTRÉE LITTÉRAIRE AVEC LONSDALE.

Dans le prolongement du succès de la librairie Gallimard (Paris 7ème), Le Divan et Le Divan Perché (Paris 15ème), l’agence de branding et de design Lonsdale poursuit sa collaboration avec le groupe Madrigall (Editions Gallimard), et rénove l’iconique Librairie de Paris située Place de Clichy.

À la croisée de 4 arrondissements, La Librairie de Paris est un véritable lieu de confluences culturelles dans un quartier intellectuel, branché et populaire.

Lonsdale a conçu un projet architectural sur près de 400 m2 avec l’ambition de révéler ce lieu aux volumes atypiques en travaillant à la fois sur la verticalité de l’espace, avec de grandes bibliothèques toute hauteur, et sur la profondeur en ponctuant le parcours de marqueur forts.

Depuis la vitrine, de grands totems affichent l’actualité littéraire, tout en donnant une forte visibilité sur l’intérieur de la librairie. Passée la porte, la fluidité du parcours – point clé de la rénovation – a été repensée pour faciliter la circulation entre les différents rayons et inciter à la flânerie aussi bien au rez-de-chaussée à travers les généreuses allées de circulation que sur la mezzanine et les coursives remplies d’ouvrages.

Au centre, l’Agora permet d’accueillir les nombreux événements et signatures et remet ainsi les auteurs au cœur de la vie de la librairie.

L’ambiance générale est chaleureuse ; les clients passent en douceur d’une atmosphère gris anthracite – incarnation de la ville – à une atmosphère plus lumineuse vers le fond de l’espace évoquant le calme des bibliothèques. La rénovation du parquet d’origine ancre le lieu dans la continuité. Des pointes de rouge « théâtre » – en référence à la couleur institutionnelle de la Maison Gallimard et aux nombreuses salles de spectacle du quartier – dynamisent le lieu.

« Dans notre commerce où 60 % des achats sont des achats d’impulsion, nous enregistrons des taux de croissance à deux chiffres dans la foulée pour chacune des trois librairies. » commente Philippe Touron,