Annonceurs : voici comment tirer le meilleur parti de votre agence de search marketing

Par Iris M. le 17/06/2024

Temps de lecture : 2 min

Les enseignements de Jérémy Lacoste, head of acquisition de Meilleur taux.

Une nouvelle semaine s’offre à vous, chers lecteurs, et peut-être voudrez-vous la débuter sur le thème du SEA. Une fois encore, Jérémy Lacoste dévoile un nouvel épisode de son podcast Déclick – et il questionne une fois encore la relation agence-annonceur. Si vous avez suivi l’épisode de la semaine dernière, vous serez intéressé à l’idée d’en connaitre la suite. 

Que vous fassiez partie de l’un ou de l’autre camp, peut-être voudrez savoir quels enseignements vous pouvez tirer de cet épisode. 

1 – Jouer la transparence

Parfois, accéder aux données essentielles au pilotage d’un compte peut s’avérer être périlleux : marge, bases clients ou même tout simplement objectifs…

Alors que le fonctionnement algorithmique de Google nécessite justement cette claire-transparence afin que l’algorithme prenne les bonnes décisions.

Il n’y a que des coups et des coûts à prendre à jouer la carte de la confidence.

2 – L’onboarding

Avec la démocratisation de l’expertise SEA, la différence se joue de plus en plus dans le partage des connaissances métiers.

Quels sont les concurrents ? Quelles sont les dynamiques marché et réglementaires ? Comment se positionnent les produits promus ? Et c’est précisément de la responsabilité de l’annonceur de faire ce travail d’onboarding.

C’est un prérequis pour sortir d’un pilotage qui serait soit trop conventionnel (on applique les best practices) soit trop copié (on fait la même chose en shopping ou lead gen).

3 – Le SEA ne fonctionne pas en vase clos

À tort, certains annonceurs peuvent attendre des miracles de la part de leur agence. Et après l’exercice éreintant de l’AO se retire presque du pilotage SEA… Or, c’est là que tout commence.

L’annonceur doit mettre à disposition l’ensemble des éléments nécessaires pour le bon fonctionnement d’un compte : tracking au point, assets creatives de qualité, LP optimales, délivrer un produit avec un fort market fit, etc.

Sans ces conditions minimales, point de salut.

4 – Confiance et contrôle

Souhaite-t-on avoir une agence qui exécute ou qui monte également sur le volet stratégie ? Il n’y a pas de mauvaises réponses, si ce n’est d’être transparent au début de la relation, au risque sinon de créer des frustrations.

Pour un annonceur mature, c’est plutôt pertinent de garder la main sur le pilotage stratégique. À l’inverse, il faut éviter de tomber dans l’excès de tout déléguer, au détriment sinon de la pertinence des recommandations apportées.

Enfin, il faut créer les conditions d’une écoute : si l’agence a été choisie, c’est qu’à un moment, il y a eu une adhésion autour de sa proposition de valeur.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le podcast lui-même ! 

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