CONTEXTE

Le métier de conducteur de train a beau être connu de tous, il reste inaccessible dans l’imaginaire collectif (quelle formation ? quel niveau d’expérience ?), alors même qu’il est ouvert à un large public : des jeunes pour leur premier emploi, des moins jeunes et des personnes en reconversion… 

Accompagner l’un des plus importants recruteurs de France dans ses enjeux de recrutement

– Avec un objectif, en 2023, de 7 300 embauches dans 150 métiers, le recrutement est un des enjeux majeurs du Groupe SNCF. Métiers peu connus, conditions de travail difficiles, avantages restreints… Les recruteurs de la SNCF sont confrontés à une double difficulté : une attractivité en berne et une forte concurrence, à la fois externe et interne, plus particulièrement sur les métiers en tension.

– Organisées par grandes activités (SA) du groupe, des agences internes gèrent le recrutement au quotidien, au gré des demandes terrain; elles peuvent être en concurrence sur certains métiers. Avec la DRH groupe, elles impulsent la communication à partir des besoins opérationnels. La marque employeur est, pour elles, autant un levier (discours structuré et cohérent) qu’un frein (désingularisation, difficulté à raccorder aux messages métiers).

L’insight de la campagne permet à chacun de s’identifier, quel que soit son niveau d’étude, son expérience ou son affinité avec l’univers ferroviaire : “Devenir conducteur, c’est prendre la meilleure place dans le train, mais aussi dans une entreprise aux nombreux avantages.”

RÉSULTATS :

– 65M impressions
– 134K clics sur le lien vers les offres
– 7,9K inscriptions aux offres
– 9,52 €/candidat