Connaissez-vous l’histoire de Pan le narco ?
C’est un narcotrafiquant qui joue aux cartes avec ses amis, dans leur planque de narcotrafiquants et Pan, le narco.

C’est DDB Paris qui l’a fait, et c’est pour lancer le titre Tom Clancy’s Ghost Recon Wildlands, le dernier né chez Ubisoft de la fameuse licence Tom Clancy’s Ghost Recon.

Le jeu se passe en Bolivie, le pays est aux mains des narcotrafiquants.
Le joueur prend les commandes d’une unité fantôme qui va rétablir la justice d’une manière, on s’en doute, assez peu diplomatique. On y incarnera un membre de cette unité, accompagné de 3 acolytes pouvant être commandé par les amis du joueur en coopération et en ligne. Quatre Ghosts, tous de redoutables et impitoyables combattants. Ce n’est donc pas un quatuor accort.
Pour se débarrasser des méchants, le joueur dispose d’hélicoptères, de drones, de mitrailleuses, de jeeps, de C4 (l’explosif, pas la Citroën) et de tout ce qui peut servir à tuer son prochain, c’est à dire à peu près tout.

Alors en fait Pan le narco et ses amis ne sont pas tout seuls dans leur planque de narcotrafiquants. Il y a aussi un chat. Un chat tout blanc, à l’opposé de l’âme des propriétaires des lieux. Il y a tant de drogue dans la pièce qu’il y a de quoi rendre irritable tout Wall-Street et Hollywood réunis.
Et c’est là que débarquent nos héros. Viennent-ils sauver le chat ? Viennent-ils libérer l’otage que les narcotrafiquants retiennent ?
La première chose qui frappe dans ce film, c’est son réalisme : textures, rendu des matières, des peaux, on dirait vraiment de vraies images. Le fait que ce film ne soit pas du tout en image de synthèse (fait rare pour un film publicitaire de jeu vidéo) aide beaucoup, il faut le reconnaître.

La seconde chose qui frappe, c’est qu’on a là un drôle d’objet publicitaire. C’est un morceau de bravoure, un extrait de film, une séquence.