Fisher-Price dévoile le second volet de sa campagne “S’amuser c’est un métier”

 

Fisher-Price tire son épingle du jeu

Dans un contexte marché du jouet toujours plus défavorable, l’iconique fabricant Fisher-Price affiche une part de marché en progression et des résultats positifs au premier semestre. Un an après la mise en oeuvre de sa nouvelle stratégie marketing, le bilan se montre très encourageant sur la performance business et l’image de la marque. La mise en place du precision marketing amorcée avec l’agence Artefact depuis l’automne 2018 porte ses fruits sur tous les canaux digitaux (+14% de volume d’affaires en point de vente). Les films de la campagne “S’amuser, c’est un métier” contribuent dès leur démarrage à la nette amélioration du souvenir publicitaire de la marque (+8 points de gagnés).

 

Un territoire original porteur de modernité

L’enjeu était d’imaginer un nouveau territoire d’expression pour rajeunir la marque auprès de la nouvelle génération de mamans. Avec Artefact, le fabricant a su inventer une recette drôle et efficace en mixant les fonctionnalités ingénieuses des jouets et le caractère farfelu des gens qui les inventent. Le bilan côté marque : des indices de perception de modernité et
d’innovation qui ont grimpés en flèche pour Fisher-Price (+5 points de gagnés) et qui dépassent largement son concurrent Vtech (-6 points).

 

Deux innovations pour repartir à la conquête des bébés

Fin septembre, la saga sur les experts Fisher-Price est de retour sur tous les écrans – TV et canaux digitaux – pour présenter les innovations produits de la fin d’année. Entre la Loutre Calin Bonne Nuit créée par une scientifique illuminée du bureau R&D de l’entreprise et les Linkimals, premier Toys band pour bébé, les parents devraient être encore un peu plus fans de ce nouveau volet publicitaire.

 

 

Cette deuxième saison va clairement un cran plus loin dans l’absurde. Un décalage qui rend hommage au génie des inventeurs de ces jouets stars grâce à deux films de 30 secondes produits par DeGaulle et réalisés par Thomas Leisten Schneider.